Karim, un mot sur le début de saison de La Duch ?
"Il est mitigé. Certes au niveau des points, nous sommes en haut. Mais on a conscience que c'est insuffisant... en terme comptable ! Car au regard des scénarios de nos derniers matchs, où nous sommes en supériorité numérique, nous aurions dû mieux faire. Aussi et surtout à mes yeux, dans le contenu. Le contenu c'est ce qui permet de s'inscrire dans la durée et de construire son avenir. La saison passée, nous avions été cohérents à partir de novembre et bons à partir de janvier. Nous avons appris de ce championnat pour être performant plus tôt. Mais force est de constater que nous avons du mal à faire fructifier cette saison d'apprentissage."
Comment tu expliques cela ?
"Les garçons sont travailleurs et àl'écoute. Mais il nous manque encore ce brin de discipline tactique, notamment sur nos deuxièmes mi-temps. Le groupe est jeune à haut niveau. Un joueur confirmé, c'est entre 80 à 100 matchs dans la division. Dans notre effectif, hormis Talhaoui et Moizini, aucun autre n’a connu des saisons régulières au dessus du CFA. Donc, il faut être patient. Sans compter que certains sortent de saisons blanches et que d’autres découvrent le N1. On doit encore travailler plus à l'entraînement. Ce n'est pas pour se cacher où se trouver des excuses et les garçons en ont conscience. On a un vrai groupe reconstruit, à 50%. A Sannois vendredi soir, par exemple, sur les quinze éléments retenus, les deux tiers n'étaient pas avec nous ou ne jouaient pas en 2017-2018."
Après votre belle saison dernière, et même en étant conscient que le deuxième saison du promu est toujours la plus compliquée, les spécialistes vous plaçaient presque parmi les "gros bras" du championnat de N1...
"Il y a de vraies attentes autour de l'équipe. On nous voit comme un cador du championnat. Footballistiquement, en a-t-on le potentiel ? Oui, je suis très clair et j'ai confiance dans mon groupe. Mais ce championnat est très usant et serrer."
"Il est mitigé. Certes au niveau des points, nous sommes en haut. Mais on a conscience que c'est insuffisant... en terme comptable ! Car au regard des scénarios de nos derniers matchs, où nous sommes en supériorité numérique, nous aurions dû mieux faire. Aussi et surtout à mes yeux, dans le contenu. Le contenu c'est ce qui permet de s'inscrire dans la durée et de construire son avenir. La saison passée, nous avions été cohérents à partir de novembre et bons à partir de janvier. Nous avons appris de ce championnat pour être performant plus tôt. Mais force est de constater que nous avons du mal à faire fructifier cette saison d'apprentissage."
Comment tu expliques cela ?
"Les garçons sont travailleurs et àl'écoute. Mais il nous manque encore ce brin de discipline tactique, notamment sur nos deuxièmes mi-temps. Le groupe est jeune à haut niveau. Un joueur confirmé, c'est entre 80 à 100 matchs dans la division. Dans notre effectif, hormis Talhaoui et Moizini, aucun autre n’a connu des saisons régulières au dessus du CFA. Donc, il faut être patient. Sans compter que certains sortent de saisons blanches et que d’autres découvrent le N1. On doit encore travailler plus à l'entraînement. Ce n'est pas pour se cacher où se trouver des excuses et les garçons en ont conscience. On a un vrai groupe reconstruit, à 50%. A Sannois vendredi soir, par exemple, sur les quinze éléments retenus, les deux tiers n'étaient pas avec nous ou ne jouaient pas en 2017-2018."
Après votre belle saison dernière, et même en étant conscient que le deuxième saison du promu est toujours la plus compliquée, les spécialistes vous plaçaient presque parmi les "gros bras" du championnat de N1...
"Il y a de vraies attentes autour de l'équipe. On nous voit comme un cador du championnat. Footballistiquement, en a-t-on le potentiel ? Oui, je suis très clair et j'ai confiance dans mon groupe. Mais ce championnat est très usant et serrer."
Le stade Balmont ne fait pas recette les soirs de matchs...
"Pas de grosse caisse, de tambours ou de drapeaux chez nous..."
Pourtant, le club a du mal à décoller médiatiquement et au niveau de la fréquentation au stade Balmont…
"On est suivi par quatre ou cinq médias. Sur les réseaux sociaux, également, on fait le buzz, surtout les soirs de matchs. J’ai un fils de 16 ans qui suit tout ça, même si je n'aime pas qu'il le fasse vus les propos tenus parfois. C’est nouveau pour l'équipe et pour le club. Mais je remercie toutes les personnes qui nous suivent, que ce soit avec de bons commentaires ou avec des analyses critiques aiguisées de spécialistes du football. Tous nous accordent du temps, qu'ils enlèvent à leur famille pour nous suivre. C’est sincère. Mais j'invite tous les amateurs de ballon du coin à venir au stade Balmont nous encourager. C’est qui nous manque le plus, de monter un vrai kop pour nous soutenir, nous aider à être plus productif sur le terrain."
Justement, comment ça se passe quand vous voyagez sur les autres terrains de N1 ?
"C’est sûr, nous sommes la seule équipe de N1 qui n'a pas de supporters à domicile avec grosse caisse, des tambours, des drapeaux... A l'extérieur, depuis le début de la saison, on joue en moyenne devant 1000 à 1500 spectateurs. Donc merci à nos supporters virtuels du net, ceux qui nous suivent sur les réseaux sociaux, et aux médias, d'envahir le stade Balmont ! Soyez exigeant avec nous, nous le saurons d'autant plus entre nous pour vous satisfaire et nous pousser vers de meilleurs résultats !"
Propos receuillis par Bebeto RODRIGUEZ
"On est suivi par quatre ou cinq médias. Sur les réseaux sociaux, également, on fait le buzz, surtout les soirs de matchs. J’ai un fils de 16 ans qui suit tout ça, même si je n'aime pas qu'il le fasse vus les propos tenus parfois. C’est nouveau pour l'équipe et pour le club. Mais je remercie toutes les personnes qui nous suivent, que ce soit avec de bons commentaires ou avec des analyses critiques aiguisées de spécialistes du football. Tous nous accordent du temps, qu'ils enlèvent à leur famille pour nous suivre. C’est sincère. Mais j'invite tous les amateurs de ballon du coin à venir au stade Balmont nous encourager. C’est qui nous manque le plus, de monter un vrai kop pour nous soutenir, nous aider à être plus productif sur le terrain."
Justement, comment ça se passe quand vous voyagez sur les autres terrains de N1 ?
"C’est sûr, nous sommes la seule équipe de N1 qui n'a pas de supporters à domicile avec grosse caisse, des tambours, des drapeaux... A l'extérieur, depuis le début de la saison, on joue en moyenne devant 1000 à 1500 spectateurs. Donc merci à nos supporters virtuels du net, ceux qui nous suivent sur les réseaux sociaux, et aux médias, d'envahir le stade Balmont ! Soyez exigeant avec nous, nous le saurons d'autant plus entre nous pour vous satisfaire et nous pousser vers de meilleurs résultats !"
Propos receuillis par Bebeto RODRIGUEZ
