Qu'elle est loin la finale de l'Europa League au Parc OL...
A ce rythme là, une chose est sure l'OL ne la verra pas. Et nous, nous avons revu cette équipe de l'an dernier que nous voulions absolument oublier. Pas de rythme , ni d’enchaînement de passe. La patte Génésio 2016-2017 était de retour. Chassez le naturel et il revient au galop me direz-vous. Le voilà reparti dans des choix fantasques. Finalement, il a fallu attendre la quatre-vingtième minute et l'entrée de Ndombele pour que Nabil Fékir trouve un joueur de football à côté de lui et combine enfin.
Pour le reste, il s'est démené avec autour de lui trois paires de jambes offensives guidées sans cerveau et dotées de balais en guise de pieds. La fameuse attaque DCM comme ... DéCiMée. Au bout du compte, ce qui pendait au bout du nez des lyonnais est arrivé . Une égalisation que les Chypriotes n'ont pas volée. Il y avait deux-trois joueurs de ballon en face mais pas de quoi casser trois pattes à un canard non plus.
Et quand on pense que certains d'entre eux en sont venus à se battre rentrant aux vestiaires, on se dit que cet OL a été bien triste. Ou alors que c'est peut-être ca la solution, secouer quelques têtes ? C'est pas l'envie qui nous en manque, mais on aurait trop peur que certaines sonnent creux...
Le Gône
A ce rythme là, une chose est sure l'OL ne la verra pas. Et nous, nous avons revu cette équipe de l'an dernier que nous voulions absolument oublier. Pas de rythme , ni d’enchaînement de passe. La patte Génésio 2016-2017 était de retour. Chassez le naturel et il revient au galop me direz-vous. Le voilà reparti dans des choix fantasques. Finalement, il a fallu attendre la quatre-vingtième minute et l'entrée de Ndombele pour que Nabil Fékir trouve un joueur de football à côté de lui et combine enfin.
Pour le reste, il s'est démené avec autour de lui trois paires de jambes offensives guidées sans cerveau et dotées de balais en guise de pieds. La fameuse attaque DCM comme ... DéCiMée. Au bout du compte, ce qui pendait au bout du nez des lyonnais est arrivé . Une égalisation que les Chypriotes n'ont pas volée. Il y avait deux-trois joueurs de ballon en face mais pas de quoi casser trois pattes à un canard non plus.
Et quand on pense que certains d'entre eux en sont venus à se battre rentrant aux vestiaires, on se dit que cet OL a été bien triste. Ou alors que c'est peut-être ca la solution, secouer quelques têtes ? C'est pas l'envie qui nous en manque, mais on aurait trop peur que certaines sonnent creux...
Le Gône
EUROPA LIGUE (J1)
Au GSP Stadium de Nicosie.
Apollon Limassol - OL : 1-1 (0-0)
Buts : Depay (53ème SP) pour OL. Sardinero (90ème+3) pour Apollon Limassol
Apollon Limassol : Vale - Joao Pedro, Roberge, Yuste, Jander - Sachetti, Alef – Jakolis (Sardinero, 54’), Alex (Martinez, 76’), Schembri (Zelaya, 85’) - Maglica. Entr : Sofronis Angousti
OL : Lopes - Rafael, Marcelo, Morel, Marçal - Tousart, Ferri (Ndombele, 78’) - Cornet, Fekir (cap), Memphis – Mariano (Traoré, 78’). Entr : Bruno Genesio.
Au GSP Stadium de Nicosie.
Apollon Limassol - OL : 1-1 (0-0)
Buts : Depay (53ème SP) pour OL. Sardinero (90ème+3) pour Apollon Limassol
Apollon Limassol : Vale - Joao Pedro, Roberge, Yuste, Jander - Sachetti, Alef – Jakolis (Sardinero, 54’), Alex (Martinez, 76’), Schembri (Zelaya, 85’) - Maglica. Entr : Sofronis Angousti
OL : Lopes - Rafael, Marcelo, Morel, Marçal - Tousart, Ferri (Ndombele, 78’) - Cornet, Fekir (cap), Memphis – Mariano (Traoré, 78’). Entr : Bruno Genesio.