Etrange est le départ de Kamel Bennekrouf de Lyon-Duchère AS, que rien ne laissait présager...
Ou plutôt si, son absence samedi en Coupe de France, sur le terrain du FCO Firminy, son club formateur. Un rendez-vous immanquable pour tous joueurs qui se respecte.
La suite logique de cette absence n'a pas tardé à s'écrire avec le retour du Ligérien à l'ASF Andrézieux, d'ou il était arrivé l'été dernier, non sans qu'une rumeur fondée ne fasse état d'un contact avec le Mouloudia d'Alger.
"Kamel est parti car il avait le mal du pays. On lui a fait une fleur, nous a expliqué le président Tria. Ca restera pour moi une homme bien." Le deux parties se séparent donc en bon terme, ce qui est une bonne chose.
Sauf que compte tenu des problèmes d'effectifs du moment (les deux Sbaï et Jackson Mendez out, en plus de la non adaptation de Rabeï), le départ de Bennekrouf interroge. Même si le bon de sortie présidentiel est louable dans un monde professionnel généralement impitoyable.
"On a des pistes de remplacement mais on ne va pas se précipiter", conclue le président.
Dont acte. Mais Grenoble, c'est dans moins de deux semaines...
Ou plutôt si, son absence samedi en Coupe de France, sur le terrain du FCO Firminy, son club formateur. Un rendez-vous immanquable pour tous joueurs qui se respecte.
La suite logique de cette absence n'a pas tardé à s'écrire avec le retour du Ligérien à l'ASF Andrézieux, d'ou il était arrivé l'été dernier, non sans qu'une rumeur fondée ne fasse état d'un contact avec le Mouloudia d'Alger.
"Kamel est parti car il avait le mal du pays. On lui a fait une fleur, nous a expliqué le président Tria. Ca restera pour moi une homme bien." Le deux parties se séparent donc en bon terme, ce qui est une bonne chose.
Sauf que compte tenu des problèmes d'effectifs du moment (les deux Sbaï et Jackson Mendez out, en plus de la non adaptation de Rabeï), le départ de Bennekrouf interroge. Même si le bon de sortie présidentiel est louable dans un monde professionnel généralement impitoyable.
"On a des pistes de remplacement mais on ne va pas se précipiter", conclue le président.
Dont acte. Mais Grenoble, c'est dans moins de deux semaines...